Je suis l’aîné d’une famille de cinq (5) enfants. Dès le primaire, j’ai été fasciné par les bandes dessinées (BD) et les dessins animés. Surtout par la célèbre BD Dragon Ball Z. Après la classe de 3e, en 2007, je passe avec succès le concours du Centre technique des arts appliqués (CTAA) dans la commune de Bingerville, une banlieue abidjanaise.
Elle a eu son lot d’adrénaline. D’angoisse aussi. C’est justement tout l’intérêt de son métier. « Je ne suis pas faite pour les eaux calmes, mais davantage pour les mers agitées, cela me stimule », assume Aurore Garnier.
Depuis près de 17 ans, j’accompagne et conseille diverses organisations à travers l’Afrique, et j’ai eu l’opportunité de m’exprimer et d’échanger avec des publics variés. Parmi tous les sujets abordés, celui qui suscite le plus d’intérêt et de débats est sans conteste celui de la prise de responsabilité dans nos vies.
Offrir le meilleur de soi ? Pari osé et presque intenable dans des sociétés humaines au sein desquelles ne vivent, selon Machiavel (1469-1527), que des individus cupides et surtout ingrats.
Nous allons, aujourd’hui, parler de l’esprit « Produit » à travers la notion de marketing personnel (ou l’art de se vendre). Sommes-nous, en fin de compte, comparables à des produits et devons-nous par conséquent nous mettre en valeur, à travers une méthode de marketing, certes quelque peu adaptée, mais qui reste tout de même une méthode créée pour les produits, les marchés.
