Cet accord vise à renforcer la lutte contre les maladies transmissibles et non transmissibles, améliorer la prévention du VIH/SIDA, renforcer les soins curatifs et promouvoir l'accès universel aux soins de santé.
De plus, ce partenariat prévoit des échanges d'informations et d'expériences dans divers domaines tels que la santé communautaire, les soins maternels et infantiles at la valorisation de la médecine traditionnelle. Il aborde également des sujets comme la transplantation rénale et la chirurgie cardiaque.
Une commission mixte spéciale, co-présidée par les deux ministres de la Santé, sera chargée d'assurer le suivi et l'efficacité de cet accord qui est établi pour une durée initiale de deux ans avec possibilité de renouvellement automatique par périodes successives de quatre ans.